DermBiont, une société de biotechnologie clinique de stade MA de Boston, qui développe des thérapies topiques ciblées qui s’attaquent aux causes profondes des maladies de la peau, a augmenté de 28 millions de dollars dans le financement de la série A2.
Parmi les intervenants figuraient les sciences de la vie pivotale (chef,) Viking Global Investors, Olive Tree Capital, Toba Capital, Civilization Ventures et d’autres investisseurs en biotechnologie. Dans le cadre de la transaction, Jeni Lee, directeur général de Pivotal Life Sciences, rejoint le conseil d’administration de DermBiont.
En parallèle, l’entreprise a acquis une société de biotechnologies en phase clinique Chromaderm, qui développe un inhibiteur topique de la production de mélanine comme une thérapie de première classe pour l’éclaircissement de la peau, le mélasme et d’autres maladies cutanées associées à une production accrue de mélanine.
Le candidat à la drogue de Chromaderm, ruboxistaurin (SM-030,) est un inhibiteur de PKC-beta, que le cofondateur de Chromaderm Dr. Barbara Gilchrest a démontré est nécessaire pour la production de mélanine. Un essai clinique de phase 1 terminé dans le cadre d’un IND américain a démontré qu’une formulation topique de SM-030 est en mesure d’inhiber la production de mélanine induite par les UV. Une formulation orale de ruboxistaurine a été évaluée dans les phases 1, 2, et 3 essais cliniques dans des indications non liées et a démontré un excellent profil de sécurité. La production excessive de mélanine est la cause profonde d’un certain nombre de maladies de la peau courantes, notamment le mélasme, lentigos solaires (sunspots) et l’hyperpigmentation post-inflammatoire. La société est dirigée par Mark de Souza, cofondateur, président et chef de la direction.
Dirigé par le Dr Karl Beutner, cofondateur et PDG, et le Dr Emma Taylor, médecin-chef, DermBiont est une entreprise de de dermatologie de précision développant des thérapies thématiques ciblées qui traitent, guérissent et préviennent les maladies. L’entreprise a pour but d’impacter les causes profondes des maladies cutanées par le développement de thérapies de petites molécules ciblées avec des mécanismes d’action bien définis ainsi qu’avec des biothérapeutiques qui réparent un déséquilibre du microbiome.